Reglementation
Dans un premier temps il faut savoir quelle distance tu
souhaites faire courir à ton cheval ?
Il faudrait que tu te renseignes pour connaître les
différentes distances qui sont proposées au Quebec.
Si tu as une réponse je serais intéressée de connaître
le fonctionnement de cette discipline là -bas.
Pour la suite je vais me baser sur les courses proposées en France.
Il faut savoir qu'en France, il y a des courses de 20 à 160 Km.
Il y a des courses qui ont une vitesse imposée (exemple : pour 20 ou
40km, soit deux boucle de 20, la vitesse et de 10 à 13km/h).
Ces course sont balisées, il n'y a pas besoin d'avoir eu des cours de
topographie pour y participer.
Cependant, avant chaque course, on te donne une carte photocopiée du tracé
(au cas où l'on se perd, et cela arrive !!!)
1/ DEROULEMENT D'UNE COURSE (exemple pour 20 Km/h)
Un fois sur le lieu de la course (et après inscription et
prise du dossard) tu dois te présenter avec ton
cheval en simple licol à un contrôle vétérinaire. A ce contrôle le
vétérinaire regarde l'oeil du cheval, mesure sa fréquence
cardiaque (très important) et fait trotter le cheval.
Ensuite tu as une 1/2 heure pour te présenter sur la ligne de
départ de la course.
Au top départ, tu pars.
Il te faut faire les 20km en 1h32mn04s (et au maximum en 2 heures,
après c'est l'élimination) ce qui représente une vitesse de 13Km/h.
ATTENTION, tu n'as pas le droit de faire un temps inférieur à cette base.
Car cela signifie que tu es allé trop vite. Tout le parcours s'effectue
(généralement) au trot ou au galop. Certains organisateurs postent des
guetteurs qui vérifient grâce au numéro de dossard si tu passes bien par les
points de contrôle.
Le but du jeu et de prendre soin de son cheval au maximum
pendant la course.
Savoir gérer le terrain, les coups de fatigue. Surtout pendant le tour,
avoir une équipe suiveuse (des amis ou la famille) qui peut vous proposer à
toi et ton cheval de l'eau.
Le plus important étant la réhydratation du cheval. Donc ces
personnes lui proposent un seau d'eau pendant que toi tu lui arrose
l'encolure pour le rafraîchir.
Au bout de tes 20 km/h, le temps est écrit à coté de ton
rythme cardiaque de départ.
Au top d'arrivée, tu as 30 mn avant de présenter ton cheval à
un nouveau contrôle vétérinaire. C'est pendant ce
temps qu'il faut réhydrater au maxi ton cheval, le doucher, et
surtout le faire marcher pour que sa fréquence cardiaque baisse.
Au contrôle véto, même vérification que précédemment, mais
c'est là qu'on a parfois la surprise de voir une fréquence cardiaque assez
élevée par rapport au départ.
Pour info la fréquence cardiaque (FC) au repos est entre : 24 et 40
suivants les chevaux.
Mon "Charmeur est à 34 la FC après l'effort est entre :
30 (pour les championnats) et 60.Mon "Charmeur" est à 38
Voila en gros le déroulement d'une petite course d'endurance.
2/ REPONSES A TES QUESTIONS
Mon "CHARMEUR DES HOUX" est un cheval de 9 ans.
Il a pas mal de "jus". Bien que ce soit un selle
français, c'est à dire que c'est un gros gabarie (1m75 au garrot).
Il a déjà terminé 1er sur des petites courses.
Mais il est vrai que plus les distances sont longuent plus les chevaux sont
près du sang et d'un gabarie léger.
Mon CHARMEUR est un cheval de club, ce qui implique que sont
entraînement naturel est de faire 3 heures de manège par jour. (et pour lui ce n'est pas de trop car dès qu'il ne travaille pas il fait
un "coup de sang". Et crois moi cela leur fait le souffle
à nos chers chevaux.
La saison d'endurance en France étant de mars à octobre,
on a tout de même des entraînements toute l'année.
En France, il y a des courses spéciales pour les jeunes
chevaux jusque 6 ans. Après c'est les parcours classiques.
D'une manière générale, je dirais que pour faire des petites
distances il faut au moins sortir sont cheval tous les jours
suivant un plan :
Dans un premier temps il s'agit de commencer par faire :
- 15 mn de trot 20 mn de pas.
Ceci 3 ou 4 fois si le cheval n'a pas de fatigue.
Ceci peut durer une semaine tout dépend de la capacité
de récupération du cheval.
Ensuite on passe à :
- 20 mn de trot et 15 mn de pas. (3 ou 4 fois) puis
- 20 mn de trot et 10 mn de pas. 4 fois puis
- 30 mn de trot et 10 mn de pas (3 fois) avec du galop sur la fin .
C'est un planing à titre indicatif.
Sur la fin c'est un peu en fonction du cheval que l'on fait le planning.
Ce qu'il faut retenir c'est que le but du jeu est de mettre
en souffle le cheval.
De temps en temps (sur la fin) on peut remplacer la
phase de trot par un long galop de 2 à 3 minutes.
Il faut savoir que parfois le galop permet au cheval
de récupérer son souffle et lui permet de casser l'allure du trot.
Si tu veux, tu peux me dire quel age à ton cheval, quel race,
sa morphologie, et le top c'est si tu peux prendre son rythme
cardiaque avec un stéthoscope. Il faut le placer au passage de
sangle, mais ce n'est pas toujours évident de l'entendre.
D'après mon expérience, on peut améliorer la récupération
cardiaque, mais les chevaux qui ont une FC élevée au repos sont
tout de même assez défavorisés.
De mémoire, voila ce que je peux te dire sur l'endurance.
Si tu as d'autres questions n'hésites pas je consulterais
les livres que j'ai et pour le planning je vais voir
si je ne peux pas te scanner quelque chose de plus précis.
L'entraînement de fond à
l'endurance se fait au trot en terrain varié. Il faut rester dans la
cadence naturelle du trot de votre monture et ne jamais précipiter
l'allure. La progression consiste à allonger progressivement la
distance, mais pas a augmenter la vitesse.
Un délai de quelque
jours est nécessaire entre chaque charge de travail.
voici un
exemple de méthode pour allonger les temps de trot sans décourager votre
jeunes monture monture : * votre objectif d'entraînement est d'atteindre
une durée d'une heure au trot en continu (sans compter le temps
d'échauffement et le retour au calme qui est de 10 mn au pas chacun).
Pour privilégier l'habitude au temps sous la selle, toutes les séances
durent 1h, dès le début de la progression.
Le principe
qui guide le découpage des allures est le suivant : dès que votre
monture n'est plus totalement à l'aise pour continuer au trot, vous
repasser au pas. Lorsqu'elle a récupéré, vous reprenez le trot et ainsi
de suite....
De séance en séance, vous constaterez que
les temps de pas apparaissent plus tard et se font plus courts : c'est
votre monture qui vous indique la rapidité de la progression. Il
y a donc peu de risque de surentraînement.
Avec un jeune cheval, il n'est pas rare
de faire quatre ou cinq pauses dans les premières séances.
MISE EN SOUFFLE
Elle s'effectue
principalement au galop, et sur de très bons terrains pour préserver les
membres. Vous devez rechercher : * une vitesse réduite ;
* une allure régulière et bien cadencée : * un cheval qui reste de
lui-même en équilibre (il ne tire pas).
Ce travail au galop
doit être abordé après l'entraînement de fond et être très
progressif.
La mise en souffle peut aussi être réalisée au
trot, dans de grandes montées en conservant la même vitesse et la même
amplitude que sur le plat.
Voilà le passage
important de mon livre. J'ai aussi lu que la randonnée était excellente.
Cela permet au cheval d'apprendre son autonomie, à boire dans des
endroits différents et des eaux différentes, à rester calme et franc. De
plus, il ne faut pas oublier de faire un minimum de dressage car le
cheval doit être équilibrer et ne pas être sur les épaules qui est une
cause de fatigue plus rapide du cheval.
*************************
un de vous avait demandé des
conseils pour l'entraînement d'un poulain en vue de faire des
endurances.
jen'ai pas de programme d'entrainement, mais mon amie, qui possède un
Mérens, a eu une expérience en la matière qui peut vous être utile.
Je dois dire qu'elle a acheté son Mérens quand il avait 2 ans 1/2. Vers
la fin de sa croissance, (3 ans 1/3), il a eu de fréquents malaises
(sueur, essoufflement, ...)Après consultation, le vétérinaire lui a
expliqué qu'il avait grandi trop vite (il est aussi plus grand que la
moyenne : +- 1m55) et que son coeur était trop petit pour sa masse
musculaire. Il lui a prescrit un traitement homéopathique (elle ne se
souvient plus vraiment du nom) et un programme à appliquer tous les
jours destiné à renforcer son coeur :
1er jour : 15 min de pas
2ème jour : 20 min de pas
+ 5 min de pas tous les jours
arrivé à 1 heure de pas, on rajoute 5 min de trot tous les jours ( à
placer n'importe quand pendant l'heure de pas - en respectant évidemment
l'échauffement et le retour au pas)
elle s'est arrêtée à 2 heures (= 1h de pas + 1 h de trot)
petite explication du vet : le pas et le trot élargissent le coeur,
tandis que le galop épaissit les parois du coeur.
il y a deux ans, elle a terminé 1ère à une endurance débutant(20 km
/2h) - pied de nez aux chevaux dits d'endurance !!!- sans entrainement
particulier (nous sortons les chevaux +- 3 x par semaine)
Son atout : la basse fréquence cardiaque de cirano (je sais, mais
c'était écrit comme ça sur ses papiers !!!) malheureusement, elle ne se
souvient plus de sa fc au repos (elle va essayer de retrouver les
papiers) mais son vet lui a souvent dit qu'il était en dessous de la
moyenne.
voilà, ce n'est pas une grande théorie et il faut voir ce qu'elle vaut
vraiment, mais en tout cas, pour elle,ça a marché !!!
Revenir en hautAllure
Contrairement à ce que l'on croit, le trot est néfaste en endurance, il vaut
mieux privilégier le galop. Et oui, ca peut paraitre absurde, mais c'est
comme ca. Le trot est une allure ou le cheval "bouge" son corps
très peu. C'est une allure, on va dire, horizontale. Mais en fait cette
allure fige le cheval dans son dos. De plus, la frappe des membres au sol
lors du trot peut causer des "dommages" aux membres. Dans le même
ordre, la respiration peut se "figer". Le galop quant à lui est
une allure "basculante". Tout bouge chez le cheval : dos, encolure.
De plus, il est facile de travailler son cheval pour que la frappe au sol
soit la plus faible possible (petit galop cadencé) et donc pour que les
"dommages" aux membres soit minimes. De plus, au galop, le système
respiratoire est plus fluide. C'est un peu difficlie à comprendre, mais quand
on regarde les courses de niveau nationale ou internationale, l'allure de
prédilection est le galop, très rarement le trot.
Revenir en haut
************************************************
Je viens de lire le message de Laurence et je suis à moitiée d'accord
avec son argumentation sur le galop. Cette argumentation est valable pour
les coursier des grands déserts comme les pur-sang arabes qui sont les
champions en endurance, mais on ne peut absolument pas appliquer cette
pratique sur les compet. de niveaux inférieurs. Cela demande un entraînement
de plusieurs heures tous les jours et il faut donc être un professionnelle.
Voilà donc mes réponses aux questions de sandra :
"Tu parles
de préserver les membres des chevaux dans le travail au galop, d'où ma
question : et au trot ? Dans quelle mesure les trottings sur des empierrés en
forêt peuvent-ils devenir néfastes ? En extérieur, à certaines périodes, on a
pas vraiment le choix. Les chemins en terre sont glissants et pleins de
trous, et ne peuvent être empruntés qu'au pas... Selon le coin, les sols
"parfaits" ne sont pas forcément très nombreux.
Quel type de
protections utilises-tu ? "
Les chemins très rocailleux ou les
pentes très glissantes se font effectivement au pas. Parfois on peut même
descendre de cheval pour ouvrir le chemin. Mais saches que les chemins boueux
ce font la plupart du temps au trot. Il faut savoir que une vitesse de 13km/h
représente un trot soutenu et que l'on ne peut pas repasser au pas trop
souvent (sauf si le cheval en a besoin). Pour ton info le trotting sur des
chemins un peu caillouteux permet au cheval d'avoir un pied de plus en plus
sûr. Il apprend ainsi a être autonome quand au choix de la trajectoire.
L'intérêt en endurance est d'intervenir le moins possible et de rester en
rênes mi-longues et de laisser le cheval s'auto gérer. Chez le cavalier,
l'endurance apprend a avoir le regard très loin parce que le
"souci" est de ne pas se prendre une branche dans la tronche et de
voir justement où sont les trous que votre cheval ne verrait pas. C'est là
que l'entente entre le cavalier et le cheval est important car parfois on
découvre sa trajectoire au dernier moment et le cheval doit être attentif au
moindre effet de rêne pour prendre le nouveau chemin qui se présent à lui. Et
quand on arrive à diriger son cheval avec juste le poids du corps ou une
légère rêne d'ouverture c'est vraiment trop génial. On a vraiment
l'impression que nos deux esprits sont concentrés dans la même
direction.
Concernant les protections, je vais te surprendre mais en fait
j'aurais plutôt tendance à les déconseiller. Je m'explique. Dans un 1er
temps, il faut savoir que les bandes sont interdites. Ensuite, quand j'ai
commencé, je mettais des protéges boulets car mon Charmeur avait une légère
tendance à se faire des petites atteintes. Le problème est que souvent le
terrain et boueux, alors il y a plein de sable ou de terre qui rentrent dans
les protections et les chevaux sont blessés par le frottement et c'est
presque pire.
Par temps sec, de temps en temps je lui remets. Sinon, je
ne lui met rien du tout. Et depuis qu'il fait de l'endurance il ne se fait
plus d'atteinte.
Delphinus
Revenir en hautFréquence cardiaque
Le cheval a une fréquence cardiaque au repos de 28-36 battements par
minute ( bpm . La fréquence cardiaque maximale des chevaux se situe
entre 200 et 240 bpm, selon l'individu...
Les chevaux sont l'espèce qui peut atteindre sa fréquence cardiaque
maximale le plus rapidement à partir du repos.
Le débit cardiaque maximal ( quantité de sang éjectée en une minute ) du
cheval de course peut atteindre 300L/minute
Par anticipation, le cheval augmentera sa fréquence cardiaque jusqu'à
60-80 bpm lors du réchauffement et en prévision de l'exercice. Durant un
exercice léger, la fréquence cardiaque se maintiendra vers 120-160 bpm,
À partir de 160 bpm, l'effort est plus important et l'augmentation de la
fréquence cardiaque se fera de façon presque linéaire avec la vitesse.
La fréquence cardiaque au repos ne diminue pas avec l'entraînement
contrairement aux humains.
Revenir en hautAssistance
Pour 25 Km, pas besoin de suppléments vitaminés. On le fait souvent avec les
jeunes cavaliers du club, et on ne donne pas de supplément sur une telle
distance. Si tu veux vraiment faire un petit truc pour aider la récupération
de ton cheval, tu peux prévoir une seringue avec de l'eau miélée (tu satures
l'eau avec le miel, le cheval boit facilement et ça lui apporte plein de
bonnes choses!!). Forces aussi un peu la dose le matin (nourrissez au moins
2H, 2H30 avant le départ)
Mais par contre, je vous conseille de prévoir une petite assistance au moins
à partir du KM 10. (ce sera facile, si vous connaissez bien le coin)
A chaque point d'assistane, juste un seau d'eau par cheval et des bouteilles
pour arroser (l'idéal : les bouteilles de lait an plastique blanc type
Candia). Prévoir 1-2 bouteilles par point d'assistance et par cheval. Si vos
chevaux ne veulent pas boire (surtout au début), vous n'êtes pas obligés de
les arrêter. La personne qui fait l'assistance vous passe les bouteilles et
vous les balancez derrière vous après (sans oublier de les récupérer, faut
pas polluer la nature !!)
Il y a toujours des fous qui font toutes les courses sans assistances (j'en
ai même vu aux championnats de France 5eme catégorie à Saumur cet été), mais
c'est de la folie. Ces gens là n'ont pas compris que le but n'est pas
seulement de faire la distance à tout prix , mais que l'état du cheval est la
chose la plus importante.
De toute manière, l'hydratation est un truc que les vétos vérifient à chaque
contrôle et qui peut te faire éliminer (pour voir si le cheval est
correctement hydraté, il faut lui pincer la peau au niveau de l'épaule. Si le
pli reste marqué ne serait-ce que qques instants, c'est qu'il y a un pbl)
Quand vous passez la ligne d'arrivée d'une étape, pensez à ne pas faire
manger vos chevaux avant le vét'. Ils auront tout le temps après. Par contre,
faites les boire au max, épongez les dans les cuisses et sur l'encolure, vous
pouvez même laisser un linge détrempé sur leur encolure ou dans la sous gorge
(là, une éponge est plus appropriée). Si ils ne craignent pas le jet, vous
pouvez vous mettre à côté du point d'eau et leur arroser l'encolure et les
cuisses. Attention : ne mouillez jamais les reins (ça les refroidirait trop
brutalement), boiterie assurée.
Ne vous agitez pas autour d'eux (calme, calme, calme...). N'oubliez pas la
couverture (même s'il fait chaud). Le nid d'abeille est très bien pour ne pas
qu'ils se refroidissent d'un coup.
L'idéal est que vos chevaux urinent avant le vét' (effet miracle sur le
cardio), mais il leur faudra qques courses avant d'y arriver!
Dès que le cardio descend, avancez du vét sans vous y engager tout de suite.
Si vous sentez que vos chevaux ont les muscles durs (fesses, surtout), mais
il y a peu de chances sur 25 km, n'hésitez pas à les masser longtemps (avec
ou sans huile).
Au début, vos chevaux auront peut être peur des bouteilles, ou ne
supporteront peut être pas qu'on les arrose, mais il vont s'habituer.
L'essentiel est qu'ils boivent bien au moins aux vét'.
J'espère que malgré tout ces petits trucs à penser, vous allez faire cette
course et y prendre beaucoup de plaisir.
************************
Quand j'ai fait ma première (et dernière) course d'endurance sur 22km,
c'est mon père qui a fait l'assistance, cad de me retrouver à mi-chemin du
parcours avec de l'eau pour abreuver Lothar et pour le rafraichir. Ce
jour-là j'ai monté un chameau car il n'a bu qu'après avoir fini!
L'assistance est aussi pratique pour quand tu as fini afin de faire marcher
ton cheval pendant que toi tu récupères un peu des efforts fournis et/ou de
la chaleur. J'étais bien contente que mon père soit là car après la course
et avant l'examen véto il a fait marcher Lothar (qui ne pensait qu'à
brouter d'ailleurs) afin de le faire récuperer pendant que moi je faisais
de même!
Ce qu'il faut prévoir : de l'eau au cas ou l'organisateur n'en a pas prévu,
du foin pour après la course (pas de granulé!), deux seaux, une serviette
(à poser mouillée sur l'encolure, permet de rafraichir le cheval et de
faire baisser sa FC), une éponge pour rafraichir les membres et les parties
qui ne peuvent pas être mouillées par un jet d'eau, une pharmacie au cas
où, une chemise légère ou nid d'abeille en fonction des conditions
climatiques, etc
De toute faco, la première course est toujours un coups pour voir car on ne
sait pas dans quoi on s'embarque et en plus on fait des erreurs (matériel,
vitesse, etc)
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